Achat ou don
Pour tout achat de CD ou don, télécharger le BON DE COMMANDE (CLIQUER ICI) et l’envoyer à l’adresse indiquée accompagné de votre règlement. Merci !
Où vont les sous ?
Vous avez envie d’acheter le(s) CD des Chant’ sans pap’Yé et/ou de faire un don pour les soutenir, savez-vous à quoi sert l’argent recueilli ?
Aux ateliers d’expression :
- pour enregistrer et fabriquer les disques avec leur livret, payer tous les droits et taxes qui vont avec et à verser un salaire modeste aussi juste possible aux professionnels qui ont bien voulu se jeter dans l’aventure avec nous
- pour financer des activités autour du travail choral :
- – les week-ends de répétition à la campagne (location du lieu, transports), dans un gîte, qui permet à la fois de travailler en profondeur et de souder le groupe, dont on sait qu’il n’est pas le même avant et après ; c’est aussi le moment idéal pour intégrer les choristes nouvellement venus. Pour beaucoup c’est aussi l’occasion trop rare d’une échappée ailleurs, hors des soucis du quotidien et de l’agitation de la ville
- – les interventions de professionnels sur d’autres disciplines, comme le rythme par exemple
- – la rémunération chaque fois que possible de notre chef de chœur, accompagnatrice, auteure, compositrice, metteure en scène, directrice artistique, sachant que nos prestations relativement nombreuses sont rarement rémunérées (il s’agit la plupart du temps de fêtes militantes et solidaires).
Au financement des régularisations :
Chaque fois que nécessaire et possible, l’association participe financièrement :
- aux honoraires des avocats
- au coût des cartes de séjour (50 € pour le dépôt du dossier non remboursable quelle que soit la réponse + 269 € pour le premier titre de séjour, accompagné d’une amende chaque fois que l’entrée dans le territoire s’est faite sans titre de séjour préalable (290€), 369 € pour le renouvellement l’année suivante dans la majorité des cas (pour plus d’informations, voir le tableau des taxes sur le site de la Préfecture), sachant que les demandeurs n’ont pas le droit de travailler
- aux déplacements, à Paris ou à Milan par exemple, pour se rendre aux différents consulats afin de retirer les documents nécessaires
- aux frais d’inscription et à l’achat de matériel scolaire et professionnel pour la scolarisation des enfants et des adolescents, et à toute dépense pouvant aider à l’insertion.
Il s’agit presque toujours d’aides complémentaires à celles apportées par les différents collectifs RESF (Réseau Éducation Sans Frontières).